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Et les "difficultés" de l'Eglise catholique continuent avec la polémique provoquée par la sortie du prédicateur attitré de la maison vaticane qui a risqué, vendredi soir en présence du pape,  un parallèle douteux - suscitant un véritable tollé- entre les critiques récurrentes à l'égard du pape depuis le dévoilement de la pédophilie du clergé et les persécutions dont le peuple juif a été victime. C'est un message confus et obscur avec des comparaisons tordues.

Un rabbin connu a exigé des excuses du pape en s'indignant de la comparaison entre les siècles d'antisémitisme qui ont mené à la mort des dizaines de millions de juifs avec des criminels qui renient leur foi et leur vocation en agressant sexuellement des enfants.

Il faut lever le bouclier, s'attaquer aux déviances de trop de prêtres un peu partout dans le monde mais pas à ce que représente le pape, un homme âgé qui a une responsabilité énorme et qui ne mérite pas toutes ces attaques ignobles.