panorama

Bien sûr, Sarko a été le seul des responsables politiques à refuser de reconnaitre publiquement l'effrondrement de  la droite parlementaire à ces dernières élections régionales et, particulièrement, des ministres qui se présentaient devant l'électorat ! Et pour cause ! Il en est le chef, l'unique patron, et son égo est démesuré (sur ce dernier point, il n'est pas un cas unique dans la classe politique...). Alors, il a fait celui qui ne voyait rien...

 

Vous me direz que Chirac, il y a six ans, s'est voilé la face tout pareil...

 

Et maintenant ?

 

Pendant ces deux (dernières) années à venir avant le prochain affrontement droite/gauche, que va-t-il se passer ? La même inertie du pouvoir que du temps de Chirac, c'est à dire rien  ? Cela n'est pas à exclure.

 

La taxe carbone, si urgente il n'y a pas encore longtemps est déjà passée par profit et pertes. Suivront peut être le maintien (et non la suppression) du juge d'instruction et le "report" de la réforme territoriale. Quant à la "mère des batailles" la réforme tant attendue du régime des retraites, elle risque de devenir un pétard mouillé malgré de toutes récentes déclarations...

 

La politique, c'est ça !

 

 

 

 

Avant le premier tour, Les socialistes et leur patronne "la Martine" vouaient leur ancien collègue Frêche aux gémonies à cause de ses dérapages verbaux successifs et du tout dernier concernant Fabius et "sa tronche pas catholique".

 

Il avait été décidé -à Paris- de lui opposer pour ces élections régionales actuelles la maire de Montpellier, une certaine Mandroux, socialiste pur jus.

 

Or, celle-ci vient d'être éliminée au premier tour avec un score minable et ne peut donc être présente au deuxième tour.

 

Alors que croyez-vous qu'ils font ? Un vrai tour de passe-passe : Ils appellent leurs sympathisants "à battre  la droite et l'extrême-droite", soit donc implicitement à voter pour leur "ennemi" -qu'ils abhorraient hier et avant-hier- puisqu'il n'y a plus personne d'autre en lice à gauche !

 

Cela s'appelle "faire de la politique" comme le précise lui-même le porte-parole de ce parti !

 

Quelle pantalonade ! 

 

Vraiment, cette politique-là, ce n'est pas très odorant...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L'Eglise catholique traverse actuellement une période très difficile du fait des médias qui n'arrêtent pas d'informer le public sur ses turpitudes (le mot est faible). Bien évidemment, les "bonnes âmes" des paroisses n'admettent pas que ces informations soient relayées surtout par un chrétien car, pour elles, le scandale doit continuer à rester caché.

 

 

Maintenant, c'est l'Allemagne surtout, mais aussi l'Autriche et la Hollande, qui sont touchés par le même scandale que l'Irlande récemment. 

 

La ministre allemand de la justice reproche au Vatican d'avoir entravé les enquêtes sur les abus sexuels dans les établissements scolaires catholiques, où était érigé un "mur de silence". Elle réclame des dédommagements financiers pour les victimes des crimes prescrits et veut aussi faire rallonger les délais de prescription dans les cas d'abus sexuels dans les écoles car les victimes traumatisées choisissent en général de garder le silence si bien que les scandales n'éclatent dans la plupart des cas que plusieurs décennies après les faits.

 

Le frère du pape, Georg ratzinger, semble lui-même sur la sellette car il exerçait des responsabilités dans l'institution "les petits chanteurs de Ratisbonne" à l'époque de faits similaires et des personnalités s'étonnent qu'il ait déclaré n'avoir jamais été au courant...

 

Les commentateurs font remarquer que de tels scandales sont beaucoup plus rares dans les communautés éclésiastiques protestantes car les pasteurs sont mariés et vivent donc une sexualité normale.

 

Quoiqu'il en soit tout cela éclabousse l'Eglise et sa hiérarchie et ce n'est pas bon au moment où les églises se vident.

 

L'archevêque de Vienne, le cardinal Schönborn -cité dans la liste des papapabili- a reconnu récemment que le "célibat" des prêtres était l'une des causes de ce "phénomène". 

 

 

 

 Voici peu de temps le pape Benoit XVI recevait à Rome l'ensemble des évêques de l'église d'Irlande pour leur "remonter les bretelles" comme on dit populairement.

 

 

Des milliers d'enfants placés dans des institutions catholiques ont, en effet, été abusés par les prêtres, qui les encadraient, au cours de ce dernier demi-siècle  Et leurs évêques ont couverts et étouffer ces "crimes atroces" selon l'expression même de Benoit XVI. (un même scandale vient d'ailleurs d'éclater en Allemagne).

 

Ces évêques -qui ont voulu étouffer le scandale à tout prix- sont tout aussi fautifs que ces prêtres isolés dans leur institution, lesquels contraints par leur célibat, ne sont pas toujours capables de réagir de manière normale aux élans et pulsions de leur sexualité. 

 

Les apôtres du Christ, eux, étaient mariés et les femmes ont joué un rôle important dans les communautés originelles (Cf. la Bible). Les jeunes d'aujourd'hui acceptent de plus en plus mal l'idée de ne jamais pouvoir former un couple s'ils entrent dans les ordres religieux catholiques.

 

Et l'Eglise de Rome continue de chercher à briller en façade et reste complètement décalée par rapport à l'évolution de la société alors qu'il y a des messes sans fidèles et que les séminaires sont vides, sauf chez les "tradis" ce qui parait d'ailleurs assez bizarre...

 

 

 

Le maire (PS) de la ville de Roubaix a tout à fait raison de s'élever -il doit saisir la justice- contre la décision ahurissante de la chaine de restaurants fast-food "Quick" de ne plus servir à sa clientèle que de la viande Halal !

 

Vers quelle France nous dirigeons-nous depuis quelque temps ?

 

Pourquoi, alors,  ne pas servir dans les restaurants que du poisson chaque vendredi, et seulement de la morue le vendredi saint, pour complaire aux cathos "bon teint" ?

 

La France semble se diriger à grands pas vers un communautarisme exacerbé duquel il sera, ensuite, très difficile de sortir. Déjà dans la cantine de certaines écoles (des quartiers dits défavorisés) on ne sert plus de porc aux élèves ! Donc, les enfants de familles non musulmanes de ces écoles sont condamnés à la privation d'aliments qu'ils aiment...

 

Que je sache, la France a -encore, mais pendant combien de temps ?- une majorité de citoyens de religion chrétienne. Pourquoi ceux-ci seraient-ils brimés à l'avantage des habitants de religion musulmane très minoritaires ? Oui, pourquoi ?

 

Les pouvoirs publics devraient réagir vigoureusement. Les Politiques même de droite, eux, ont peur de ne pas aller dans le sens du vent des "bobos". Déjà certains d'entre eux cherchent à minimiser ce scandale du Quick.

 

Dans quelle France nos petits-enfants vivront-ils si personne ne réagit ?