panorama

Aujourd'hui, samedi 13 février 2010, jour heureux pour ma femme et moi car

ce sont nos noces d'or - 1960/2010 = 50 ans.
Coïncidence heureuse : le 13 février était également un samedi en 1960.

Ce 13 février 1960, mariage civil entre Monique Jouët et Jean-Paul Cougny à 11 h à la mairie de Paris XVIème et mariage religieux à 11 h30 à la paroisse de Saint-Honoré d' Eylau. Puis repas familial dans un restaurant réputé à cette époque-là pour sa cuisine bourguignonne. (Les Cougny sont originaires de bourgogne).

Ce 13 février 2010, entre nous deux seulement, bon repas de poisson en perspective dans notre restaurant préféré "vin et marée" de la porte St Cloud, réputé pour la qualité, la fraicheur et le choix des poissons proposés.

Ces 50 ans ont passé si vite que nous avons l'impression que cette cérémonie, importante dans une vie, a eu lieu hier...

Nous ne faisons aucun projet pour nos noces de diamant... dans 10 ans, compte tenu des aléas de la vie...

Une fois de plus, les responsables nationaux du parti se prennent les pieds dans le tapis. La Martine et ses copains se prennent brusquement à tirer à boulets rouges sur le "potentat" de la Septomanie après sa sortie -pas bien méchante- sur l'allié du moment, Laurent Fabius.

 

Certes, ils avaient exclu, le Frèche, 

 du bout des lêvres du parti après ses précédentes sorties "racistes" sur les "bleus/blacks" et sur les "harkis/sous-hommes" mais tout en conservant, en sous main,  des liens assez étroits avec lui.

 

 

Voilà qu'ils veulent lui opposer une socialiste bon teint, la maire de Montpellier, à la tête d'une liste comprenant des écologistes. Mais ceux-ci refusent si l'un des leurs n'est pas en tête de ladite liste et vont donc constituer leur propre liste ! Un embrouillamini invraisemblable. 

 

Il est à parier  que, dans ces conditions, ces deux petites listes, socialistes et verts, n'atteindront pas le seuil minimum leur permettant de se maintenir au second tour.

 

Alors, resteront en lice la liste de Frèche et celle de l'UMP. Vraisemblablement, celle de Frèche va gagner et renouveler ainsi son bail actuel à la tête de la région.

 

Quant aux socialistes "parisiens", ils se seront -une fois de plus- couverts de ridicule, surtout que Frèche se répand actuellement dans tous les médias pour dire pis que pendre de la Martine, son ennemi...en attendant la présidentielle de 2012 où il compte lui faire sa fête car, d'après lui, elle sera candidate et n'en a pas la compètence.

 

 

Nous y voilà une fois de plus ! le combat acharné de deux égos-mégalos l'un contre l'autre qui se poursuit, se radicalise et s'éternise va-t-il , une fois de plus, faire perdre la droite : d'abord aux "régionales" de mars prochain (grand chelem de la gauche pour les 22 régions) et, ensuite, en mai 2012 à la "présidentielle" (victoire d'un(e) socialiste) ?

 

Nous avons eu le combat meurtrier Chirac/Giscard qui a fait élire Mitterand en 1981, puis celui Chirac/Balladur en 1995 où le premier a gagné d'une courte longueur sur la gauche.

 

Je n'ose imaginer que ces deux-là ne vont pas retrouver, enfin et à temps, leurs esprits pour éviter une telle catastrophe pour notre pays dans 2 ans 1/2 !

 

Si cela n'était pas le cas, complètement désabusé par "la droite la plus bête du monde", je n'irai pas voter, quitte par mon abstention et celle de milliers d'autres électeurs de droite comme moi, à faire élire le(la)  candidat(e) de gauche... 

 

A bon entendeur, salut !

 

 

Je ne sais pas si la majorité des français sont scandalisés par le niveau de rémunération des "grands patrons" des grandes entreprises, je le crois toutefois et, en tout cas,  moi je le suis !

 

Gagner 2 à 3 millions d'euros par an, c'est à dire 13 à 19 millions de francs, me choque profondément compte tenu de l'énormité de la somme comparativement au salaire moyen français ! Bien entendu, j'ai la même opinion concernant les sportifs, les chanteurs et artistes dont certains gagnent aussi des sommes astronomiques.

 

Aucun talent, aussi grand soit-il, ne mérite une telle récompense indécente et choquante. De bonnes âmes justifient ce fait en arguant que la rareté commande le prix de vente comme dans le commerce des produits !!!! Comme si le nouveau président d'EDF ou des grandes entreprises du CAC40 -que je ne fréquente pas (mais dont l'un d'entre eux dirige la société qui me verse ma retraite complémentaire)- étaient des êtres uniques, irremplaçables...Ou encore,que dans les autres pays développés les "grands patrons" gagnent encore plus...

Pour moi, je le répète, c'est un pur scandale face à la misère  qui règne de plus en plus dans tous les pays.

 

Bonne dernière nouvelle, il aurait renoncé à la prime de 450.000 EUR que devait lui versé annuellement sa précédente société et se contentera donc des 1.950.000 EUR d'EDF ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le système des quotas va-t-il faire de nouvelles victimes : les grandes écoles ?

 

C'est possible si les plus hautes autorités politique le décident, comme cela semble de plus en plus devoir être le cas.

 

Qu' est-ce que les quotas ? Donner accès automatiquement aux populations des "minorités visibles" quel que soit leur talent, dans la limite d'un certain pourcentage (30% ?), à des places (administrations, professions, listes électorales, etc...) ordinairement destinées aux plus capables, aux meilleurs.

 

Or, il apparaitrait qu' "on" (suivez mon regard !) veuille appliquer ce système de quotas aux concours d'entrée aux grandes écoles que seules, actuellement, les élites intellectuelles réussissent à passer avec un très gros

travail de préparation. Et la voie est étroite (comme la ruelle ci-dessus) pour y parvenir.

 

 

Ce serait la fin de ces écoles d'excellence comme, depuis des années, les 80% de reçus systématiques au bac ont sonné le glas de cet examen qui, aux yeux des recruteurs d'entreprises, n'a plus aucune valeur à lui tout seul !

 

Et les boursiers ? Il serait judicieux de mettre en place, en nombre suffisant, des bourse "au mérite" pour que tous les élèves doués et travailleurs puissent réellement faire de longues études difficiles alors que leurs parents n'ont pas les moyens financiers d'en supporter le coût généralement très élevé.